En ce 14 février, fête du saint patron des amoureux, nous prions tout particulièrement pour tous les parents des enfants qui cheminent en catéchèse, tous les couples qui s’investissent dans la transmission de la foi et, de manière générale, tous les amoureux qui vivent un chemin de foi.
Pour les accompagner dans leur journée et leur soirée, nous leur offrons ces quelques versets bien connus de la première lettre de saint Paul aux Corinthiens :
J’aurais beau parler toutes les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas la charité, s’il me manque l’amour, je ne suis qu’un cuivre qui résonne, une cymbale retentissante.
J’aurais beau être prophète, avoir toute la science des mystères et toute la connaissance de Dieu, j’aurais beau avoir toute la foi jusqu’à transporter les montagnes, s’il me manque l’amour, je ne suis rien.
J’aurais beau distribuer toute ma fortune aux affamés, j’aurais beau me faire brûler vif, s’il me manque l’amour, cela ne me sert à rien.
L’amour prend patience ; l’amour rend service ; l’amour ne jalouse pas ; il ne se vante pas, ne se gonfle pas d’orgueil ;
il ne fait rien d’inconvenant ; il ne cherche pas son intérêt ; il ne s’emporte pas ; il n’entretient pas de rancune ;
il ne se réjouit pas de ce qui est injuste, mais il trouve sa joie dans ce qui est vrai ;
il supporte tout, il fait confiance en tout, il espère tout, il endure tout.
L’amour ne passera jamais. Les prophéties seront dépassées, le don des langues cessera, la connaissance actuelle sera dépassée.
En effet, notre connaissance est partielle, nos prophéties sont partielles.
Quand viendra l’achèvement, ce qui est partiel sera dépassé.
Quand j’étais petit enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant. Maintenant que je suis un homme, j’ai dépassé ce qui était propre à l’enfant.
Nous voyons actuellement de manière confuse, comme dans un miroir ; ce jour-là, nous verrons face à face. Actuellement, ma connaissance est partielle ; ce jour-là, je connaîtrai parfaitement, comme j’ai été connu.
Ce qui demeure aujourd’hui, c’est la foi, l’espérance et la charité ; mais la plus grande des trois, c’est la charité.
1 Co 13,1-13
En tant que catéchiste, il peut vous arriver de rencontrer des parents en difficulté dans leur couple. Il n’est pas souvent facile de leur apporter un soutien adapté. Vous pouvez dès lors leur proposer de rencontrer un prêtre, la cellule couples et familles de votre paroisse ou les inviter à prendre contact avec le Chêne de Mambré. Ce centre d’écoute et d’accompagnement pour les couples a été créé à l’initiative du Service Couples et Familles du Brabant wallon. Il accueille tous les couples, croyants ou non, qui se trouvent dans une situation particulière.
Bravo pour ces bons voeux aux amoureux et merci pour la pub pour Le Chêne de Mambré, tant de personnes cherchent de l’aide !
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